Une semaine chez papa, une semaine chez maman. C’est le rythme le plus souvent choisi par les parents qui ont mis en place une résidence alternée, également appelée garde partagée ou garde alternée. Une solution pas très bonne mais on vous cite les pièges qu’il faut éviter pour cette solution
Une séparation, c’est toujours douloureux et c’est un vrai souci. C’est la fin d’une histoire, un deuil, une cassure. Et quand des enfants sont impliqués, la situation est encore plus compliquée. Voici quelques conseils à suivre pour la bonne garde.
Souvent, après le divorce comme sur lesitedudivorce.com , l’un des parents a envie de blesser l’autre, de l’atteindre. Et il sait que le plus sûr moyen d’y arriver est à travers son enfant. Les actes du parent blessant ne sont pas motivés par l’amour, ni le bien-être de l’enfant. Il veut juste causer du tort, des problèmes à l’autre parent.
Ensuite, le sentiment de solitude peut pousser un parent à se confier à son enfant ou son ado mais une fois de plus, l’enfant n’a pas à intervenir dans un problème de grand. Un enfant est un enfant et sûrement pas un conseiller familial et conjugal.
D’un autre côté, ne faites donc pas l’erreur de prendre une décision importante sans en informer l’autre parent, au risque d’envenimer vos rapports. En revanche, l’heure de coucher ; la façon de s’habiller, les repas ou les sorties, soit des décisions du quotidien, sont à la seule responsabilité du parent en charge à ce moment-là.
Divorcés et seuls avec vos enfants, vous pouvez avoir la tentation d’accepter des situations que vous refuseriez d’ordinaire. Cajoler votre enfant et lui accorder plus d’attention sont des réactions tout à fait normales. Mais n’oubliez pas pour autant votre rôle éducatif de parents. Même si vous ne voyez votre enfant qu’une semaine sur deux, vous ne pouvez pas tout lui céder.
Les enfants se sentent souvent responsables des conflits et des séparations des parents. Il est indispensable celui dire qu’il n’y est pour rien, que ce n’est pas à cause de lui que vous vous séparez. Cela permet aussi de ne pas entretenir l’illusion qu’il peut arriver à vous réconcilier.
Ainsi, jusqu’au troisième anniversaire de l’enfant, il est préférable que celui-ci grandisse au même endroit. L’autre parent pourrait alors lui rendre visite autant de fois que possible, afin de ne pas perturber l’enfant.
Veillez à toujours parler avec respect de votre ex-époux ou épouse, devant votre enfant. Même si vous avez envie de l’insulter, n’oubliez pas qu’il ou elle restera toujours son père ou sa mère.